La CMMTQ remet ses bourses d’excellence

Noémie Batista Gomez, Collège Ahuntsic
« Au secondaire, j’ai aimé la gestion et la conception d’un projet de robotique. Cette expérience m’a tellement marquée que j’ai voulu étudier dans le domaine de la mécanique, mais je ne comprenais pas vraiment comment cette discipline s’appliquait au bâtiment. Toutefois, après une seule session, j’étais déjà amoureuse du programme. »

Vincent Blanchard, Cégep Limoilou
« Dès la première session, je savais que j’allais faire carrière dans ce domaine. Je vais même poursuivre mes études en génie du bâtiment à l’Université de Sherbrooke. Les stages m’aideront à faire un choix, car j’ai un heureux problème : j’aime toutes les spécialités de la mécanique du bâtiment. »

Amy Lee Langlois-Clarke, Cégep de Saint-Hyacinthe
« En consultant une conseillère en orientation, j’ai découvert que je voulais comprendre les systèmes mécaniques d’un bâtiment et en apprendre davantage sur les bâtiments durables et l’aspect écoénergétique. Retourner aux études après avoir travaillé pendant deux ans et demi n’a pas été facile. Je souhaite occuper un emploi passionnant qui me permettra non seulement d’appliquer, mais aussi de renforcer les compétences acquises au cours de mes études et de mes stages. »

Marie-Pascale Tremblay, Cégep de Jonquière
« Quand je me suis inscrite en mécanique du bâtiment, ça faisait deux ans que je cherchais ce que je voulais faire. Une conseillère en orientation m’a aidée. Dès que j’ai commencé, j’ai su que j’étais enfin dans mon élément. J’aime la mécanique du bâtiment. Il est possible de réussir dans un métier traditionnellement exercé par les hommes. »

Jiali Wu, Cégep Vanier
« Choisir d’étudier la mécanique du bâtiment à Montréal est une décision réfléchie, car je veux en apprendre davantage sur l’efficacité énergétique et le confort des occupants dans l’environnement bâti. Je souhaite devenir spécialiste du contrôle des coûts dans le domaine de la mécanique du bâtiment en favorisant l’innovation et la durabilité. »

Steve Bellavance, Centre de formation professionnelle Samuel-De Champlain
« L’industrie de la construction m’a toujours intéressé. De plus, je crois aussi avoir les qualités nécessaires pour ce métier. Calme, ordonné, ponctuel, sérieux et soucieux du détail, je trouve une solution à chaque problème. Lorsque j’ai un objectif en tête, je mets tout en œuvre pour l’atteindre. »

Yohann Bissonnette, Centre de formation professionnelle Samuel-De Champlain
« Après avoir travaillé pendant cinq ans comme boucher, j’ai eu besoin de relever de nouveaux défis. Je me suis alors inscrit en Plomberie et chauffage, car c’est un programme qui permet d’acquérir des connaissances variées dans différents domaines, sans compter tous les cours de perfectionnement offerts. »

Julien Dubé, Centre de formation de La Haute-Gaspésie
« Me réorienter en plomberie représente le désir d’allier des compétences intellectuelles et manuelles. Parents d’une petite fille, nous devons faire des sacrifices financiers et d’horaire. N’ayant pas droit au financement d’Emploi Québec, j’ai deux emplois les fins de semaine. Qu’à cela ne tienne, j’ai la conviction que ce cheminement sera bénéfique. »

Issa Haraké, École des métiers de la construction de Montréal
« Je souhaite exercer un métier qui me donne le sentiment d’être utile. J’aimerais obtenir mon titre de compagnon et les certificats de qualification en installation de tuyauterie de gaz, en technique d’appareils au gaz et en dispositifs antirefoulement. »

Benjamin Fréchette, École Polymécanique de Laval
« J’ai choisi cette carrière pour la stabilité professionnelle et les possibilités d’innovation qu’elle offre. Elle permet aussi de contribuer de façon positive à la société. Je me distingue par mon attitude proactive, ma capacité à résoudre les problèmes de manière créative, ma persévérance et mon engagement à toujours apprendre et m’améliorer. »